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lunes, 2 de diciembre de 2019

CLIMA - MONDE



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               COP25 - MADRID

COP25 - Sitio Oficial (english-espagnol)

https://www.cop25.cl

COP25 -  URGENT

(espagnol-français)

La COP25(195 pais + l’Union europea) como en todas las COP, es bueno que se organicen en rotaciones de diferentes países como anfitriones de todas las representaciones internacionales (y bajo los auspicios de las Naciones Unidas). Pero la PRESIDENCIA debe ser ejercida por una COMISIÓN INTERNACIONAL DE EXPERTOS EN EL ÁMBITO DE LA ECOLOGÍA Y EL CAMBIO CLIMÁTICO.

 La presidencia de esta enorme e importante reunión anual es un trabajo que requiere visión, conocimiento, experiencia y capacidad de sintetizar en relación con todas las posibles variables que se resolverán para el interés actual del PLANETA y NUESTRA VIDA.
No se puede dejar presidir por una sola persona que tampoco sea experta en la dirección planetaria para este evento de enorme trascendencia actual. Ha sido un error que se ha cometido, ha retrasado y entorpecido los objetivos casi siempre (los acuerdos de la COP21 en Francia fueron realizados por un grupo de personas con gran dificultad).

De esta manera, nos encontraremos en un punto muerto cada año y se pierde la gran oportunidad de organizar las variables que en este momento son enormes, relacionadas con cada país y el planeta, plenariamente con sus diferentes alternativas y poder combinar así en un todo coherente para todos!

Hay que ver esto con urgencia, resolverlo AHORA! ...

BENDICIONES!


 La COP25 (195 pays + l’Union européenne) comme dans toute les COP, c’est très bien qu’il y soient organisation des rotation en différents pays signataires, hôte des représentations internationaux des toutes les pays, (et sous l’égide des Nations-Unies). Mais, la PRÉSIDENCE il doit être exercé par une COMMISSION INTERNATIONAL D’EXPERTISE DANS LE DOMAINE D’ÉCOLOGIE ET DU CHANGEMENT CLIMATIQUE. 

 La présidence de cet enorme et importante réunion annuel, c’est une travail qui demande une vision, connaissance et capacité de synthèse par rapport à toutes les variables possibles à tenir et résoudre pour l’intérêt actuel du PLANÈTE et NOTRE VIE.
On peut pas le laisser à charge dune seule personne quil nest pas experte non plus dans la direction planétaire (!..) de cette enorme et éprouvant rencontre. Ca été un erreur qui traîne depuis toujours.

Dans cette manière, on vas se trouver dans l’impasse chaque année, on vas perdre la grand opportunité de maîtriser toutes les variables que dans ce moment sont enormes, relatives à chaque pays et planétairement avec ces différents alternatives, et pouvoir conjuguer, maîtriser dans un tout cohérent pour tous! 

Il faut voir de manière urgent ceci, le résoudre MAINTENANT!...

BÉNÉDICTIONS!

Elgodiv

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DESDE EL ESPACIO PARA LA COP25
 "He visto con mis ojos los terribles efectos del cambio climático en toda la tierra »..
Este miércoles Luca Parmitano, de la Agencia Espacial Europea, y quien se encuentra en la Estación Espacial Internacional, se contactó con la Tierra para participar de una conversación en la COP25. 

11 de Diciembre de 2019 | 14:30 | Redactado por Thomas Heselaars, Emol / DPA 142 Reuters 
Durante la décima jornada de la COP25, la cual es presidida por Chile, Luca Parmitano, astronauta italiano de la Agencia Espacial Europea, conversó con Antonio Guterres, secretario general de las Naciones Unidas, sobre la perspectiva que tiene del espacio de la crisis climática. En la actividad, el italiano confesó que "por primera vez he visto con mis ojos los terribles efectos del cambio climático". 
Parmitano es uno de los seis astronautas que se encuentra actualmente en la Estación Espacial Internacional. En la conversación con el ministro de Ciencia, Innovación y Universidades de España, Pedro Duque, y el secretario general de la ONU, António Guterres, relató su experiencia en el espacio.
 "Desde arriba, tenemos el privilegio único de poder mirar nuestro planeta con los ojos, es muy difícil y duro describir cómo se siente uno; yo lo que veo es que nuestro planeta es bellísimo, no soy capaz de expresar tanta belleza con palabras, hay tantísimos detalles, y no se pueden ver desde ningún otro lugar", no obstante, también reconoció que desde el espacio se puede apreciar su "increíble fragilidad". 
"Si nadie cuenta la historia, es como si no estuviera sucediendo. Se necesita un humano en el espacio para contar el lado humano de la historia, junto con los datos y las imágenes", agregó. 

NOTICIA RELACIONADA Informe internacional reafirma la importancia de la naturaleza para frenar la crisis climática

 Sobre las consecuencias de la crisis climática, el astronauta enfatizó que "La fragilidad es aterradora. He visto con mis propios ojos los terribles efectos del cambio climático". Por último, Parmitano manifestó que "el elemento más frágil somos nosotros, somos el eslabón más débil ».

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Il y a 3 jours - Ajouté par AFP
... à la COP25 dans la capitale espagnole à agir contre le réchauffement ... pour le climat 
Segunda y decisiva semana para la COP25
 Comienza la fase de "alto nivel" en negociaciones climáticas


En el marco de la Cumbre de Cambio Climático COP25
Ministro de Energía de Chile anuncia el cierre adelantado de centrales de generación a carbón.
Se trata de casi 700 megawatts de centrales a carbón que cesarán su funcionamiento anticipadamente.


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La COP25 à Madrid sous la présidence de Chili est expression et bon résultât, même que par défaut, du besoin du multilateralisme, spécialement s’agissant d’un affaire planétaire.  
Extraordinaire bon signe du besoin d'une mobilisation collective, intercontinental, global!
                    BONNE CHANCE À TOUS! 




    Les grands pays vont-ils enfin répondre à l’appel urgent du climat ?

Quatre ans après l’accord historique de Paris, en 2015, les émissions de gaz à effet de serre augmentent toujours dans le monde. Les nations du G20 doivent se montrent ambitieuses, à Madrid, où s’ouvre la COP25, ce lundi, pour dix jours.

La COP25 s'est ouverte à Madrid sous la présidence de Carolina Schmidt, ministre de l'Environnement du Chili
| THOMAS BREGARDIS / OUEST-FRANCE


Christelle GUIBERT.
Modifié le 02/12/2019 à 07h58 Publié le 02/12/2019 à 07h02

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Les grands pays manquent à l’appel urgent du climat. Quatre ans après l’accord historique de Paris, en 2015, les émissions de gaz à effet de serre augmentent toujours. Les nations du G20 doivent se montrent plus ambitieuses, à Madrid, où s’ouvre la COP25, ce lundi 2 décembre 2019.




Que doit-il se passer à Madrid ?

La 25e Conférence des parties ou Cop (chaque pays signataire de la Convention de l’ONU sur le changement climatique est “ une partie ”) qui se déroulera du 2 au 13 décembre, en Espagne, sera avant tout technique. “ Il s’agit de finaliser tous les mécanismes qui mettront en musique l’accord de Paris signé par 197 pays ”, explique Pierre Cannet, spécialiste climat de WWF.
Parmi eux, la mise en place d’un marché carbone, ou du système de compensation pour les pays les plus vulnérables au réchauffement climatique, alors qu’ils n’y ont pas contribué. C’est le cas du Vanuatu, nation du Pacifique sans industrie, menacé de submersion.
Depuis 2015, les délégations nationales s’arrachent les cheveux sur des formulations. “ Pendant qu’on perd du temps pour une virgule ou un point-virgule, mon peuple boit la même eau, de plus en plus rare, que son bétail ”, peste l’Africaine Hindou Oumarou Ibrahim, représentante des populations indigènes pour le climat.

Quel est le véritable enjeu de cette COP25 ?

Sortir d’une trajectoire qui conduirait à tenter de survivre sur une planète à 3,2 °C d’ici la fin du siècle. C’est ce qui guette l’humanité si les émissions de CO2 qu’elle produit, cause du réchauffement, ne diminuent pas très rapidement, ont prévenu deux rapports des Nations unies, lundi et mardi.
Les États doivent impérativement s’engager à réduire davantage leurs émissions. Les promesses de Paris n’ont pas été tenues : +1,7 % en 2018. Il faut mettre les bouchées doubles et même nettement plus : “ Une diminution de 7,6 % par an, chaque année, de 2020 à 2030 ”, dit l’ONU.
Selon les termes de l’accord de 2015, chaque État doit fournir un engagement chiffré de ses objectifs de réduction d’émission et la revoir tous les cinq ans. Mais ces contributions nationales de 2015 sont déjà insuffisantes. l’ONU demande donc aux grandes nations d’annoncer “ dès maintenant leur ambition pour 2020 ”.

Qui sont les bons élèves ?

Un seul pays, la République des îles Marshall, a déjà renforcé sa contribution. Après le sommet climat de septembre à New York, 68 pays ont promis de le faire, dont le Chili qui préside cette COP25 délocalisée en Espagne, pour cause de crise sociale.

44 autres pays, dont l’Union européenne qui représente ses 28 États membres, a annoncé qu’ils “ actualiseraient ” leurs objectifs. C’est aussi le cas de la Corée du Sud, le 13e émetteur mondial, encore trop dépendante du charbon.

Qui sont les freins de cet accord de Paris ?

Les États-Unis, puisque Trump a retiré son pays de l’accord et misé sur les hydrocarbures de schiste. Et la Chine, qui malgré ses efforts sur les énergies renouvelables, a produit 35 gigawatts supplémentaires d’électricité au charbon sur les six premiers mois de 2019, “ ruinant les efforts du reste du monde qui avait réussi à réduire sa production de 8,1 % ”, constate le sénateur Vert Ronan Dantec.
Si l’on ajoute l’Inde, ce trio est responsable de 85 % de la hausse des émissions du secteur énergétique.
L’ONU surveille de près trois autres riches nations qui tergiversent : le Japon, le Canada et la Turquie, qui toujours discrète sur le front du climat, a augmenté ses émissions de CO2 de 18 % entre 2015 et 2018.

Y a-t-il encore de l’espoir ?

Les grandes ONG ne veulent pas croire à la malédiction qui colle déjà à cette Conférence : elle devait avoir lieu au Brésil, le climatosceptique Bolsonaro n’en a pas voulu, et le Chili qui l’a remplacé au pied levé a dû y renoncer pour cause de contestation sociale…

Elles listent cinq raisons d’y croire : les villes du monde n’attendent pas l’échelon national, la jeunesse est dans la rue, les énergies renouvelables deviennent hypercompétitives, le désinvestissement dans les hydrocarbures continue (dont la Banque européenne d’investissement ce mois-ci) et les défenseurs du droit à l’environnement multiplient les offensives dans les tribunaux.



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