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lunes, 16 de diciembre de 2019




COP 25


    VERS UNE SYNTHÈSE 

Au delà des faibles résultât de la COP;
une évidence: la plupart des pays le plus industrialisés, le plus polluants et aussi autres…il ne veulent rien savoir avec une économie engagé avec les urgences climatiques, il assistent à la COP pour faire de business et bloquer des accord collectifs. 
 Tant que les politiques gouvernementaux du planète, n’intègrent les sciences de l’environnement, du changement climatique et l’écologie structurel, les COP restent divisée pour prend des mesures pratiques intercontinentaux pro le planète et la vie. Il devienne une réunion des deux mondes divisés, deux temps, et beaux mots d’intentions…

             Il me semble que tant que les COP il ne soient pas gérés par un cadre international d’experts sur les urgences climatiques, la présence des pays dominés par le seul intérêt du business et marchés des produits polluant, contraires aux propos des économies vertes, et le sens des COP, tout reste inutile. Il faut aller définitivement de l’avant.
(Elgodiv).

Presse local:
« le piètre résultat, obtenu après des heures de négociations stériles, aggrave le décalage entre les gouvernements du monde et la science, quant à la crise du climat et la nécessité d’agir de façon urgente. »- selon quotidienne EL PAIS-Espagne.

Le déroulé de la COP 25 et le contenu de son accord final ont déçu plusieurs titres de presse européens. Les 200 pays participants n'ont pas imposé la moindre avancée majeure. Les crédits carbone et l'effort de solidarité à l'égard des pays les plus vulnérables sèment la division.
Entre milieu…les quelques commentaires des quelques figures de la cause climatique….
   « Où sont les leaders ? »
« On a toujours les mêmes points de blocage sur la table!»
    Les pays riches (et dautres pas tellement riches)….« Ils font le business as usual, c'est inacceptable »

À Voir:


L’exception du « Green New Deal»
présenté et développée au sein de L’UE- Bruxelles et la COP25

 Dix jours après sa prise de fonction et pour ses premières grandes annonces, la présidente de la Commission européenne U. von der Leyen, dévoile le mercredi, devant le Parlement de Bruxelles, le vaste « Green Deal » (« Pacte vert ») qu'elle entend placer au coeur de son mandat.

Mercredi, selon le comptage du WRI, UNE PLATAFORME INTERNATIONALE D’EXPERT SUR LE CLIMAT, 80 ETATS FIGURAIENT AU RANG DES PAYS QUI, A CE JOURS, CE SONT DÉCLARÉS VOLONTAIRES POUR ACROITRE LEUR NDCs (IATA).
Pourtant ces Etats ne représentent en effet que 10,5 % des émissions mondiales. 
À VOIR: Une part du  le « green new deal », présenté mercredi à Bruxelles que
 permet potentiellement de doubler (les émissions de l'UE représentent 8,9 % du total mondial) et plus encore si la nouvelle Commission, à travers l'effort qu'elle vient d'annoncer, parvient à entraîner la Chine (23,4 % des émissions) dans son sillage et à déclencher un effet domino sur d'autres grands pays.


La neutralité carbone « est un impératif économique à long terme » et « ceux qui agiront les premiers […] seront ceux qui saisiront les opportunités de la transition écologique ». Dont acte : l'UE n'a beau représenter que 9 % des émissions carbones sur la planète, elle entend montrer la voie pour la sauver. « Le Pacte vert, c'est la nouvelle stratégie de croissance de l'Europe », a résumé Mme von der Leyen lundi 2 décembre devant la COP25 à Madrid.

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