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sábado, 28 de diciembre de 2019


BRUXELLES - NOËL

     
                                           
                                                                                        🌟

   GRAND PLACE - FËTE DE LUMIÈRE


   À VOIR:
  webcam de la Grand-Place

La Grand Place de Bruxelles est l’anphitéâtre des maisons des anciens corporations de la ville autour de l’Hotel de Ville et la maison du Roi....  














L'Hôtel de Ville 
avec l’arbre de Noël 






et une romantique promenade 
ancestral..
     




Une belle crèche avec la naissance
au pied de la maison "Pot d’Etain ».

                          actuel Musée de la ville de Bruxelles..

entouré d’une architecture de dentelle chef d’oeuvres nombreuses fois détruites et...re-construites....(Hotel de Ville et autres..)


avec la figuration des continents du monde autour la justice*
(maison Le Renard)

concentrés dans une foule des toutes les lieux

avec le douceur des « spécialités" belges... 

                        et une boisson chaux dans les marchés de Noël pour une magnifique promenade
                           comme expérience architectural unique dans un des meilleur moment de l’année...!


 🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟 🌟🌟🌟  🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟🌟 🌟🌟🌟 🌟🌟🌟 🌟🌟🌟

* détail des continents, maison Le Renard.


Photos Elgodiv





La Maison du Roi



    

martes, 24 de diciembre de 2019



SANTIAGO-CHILE




EL PRESIDENTE SEBASTIAN PINERA PROMULGO ESTE LUNES REFORMA CONSTITUCIONAL QUE HABILITA EL PROCESOS CONSTITUYENTE PARA QUE LA CIUDADANIA DECIDA SI QUIERE UNA NUEVA CARTA MAGNA

El Mandatario entrego algunos de sus mínimos para una nueva Carta Magna, como incluir a la familia como « el núcleo fundamental de la sociedad ».

SANTIAGO.- "En los países sabios, la Constitución es el gran marco de unidad que da certeza al devenir de los pueblos; lo que los sajones llaman la 'ley de la tierra'. Es aquel instrumento que debe ser aceptado y respetado por todos, y permite a los países asumir con eficacias las legítimas diferencias". 

Con estas palabras, el Presidente Sebastián Piñera promulgó este lunes la reforma constitucional que habilita el proceso constituyente para que la ciudadanía decida si quiere una nueva Carta Magna y quién debe redactar el texto: si una convención mixta, con presencia de parlamentarios, o una convención constituyente, de corte ciudadana.

En su discurso, el Mandatario mencionó que "hasta ahora, la discusión política en torno a la Constitución se ha centrado casi exclusivamente en los procedimientos". "Yo estimo que no se ha profundizado suficientemente en los contenidos", dijo, mencionando algunos de los mínimos que él incluiría en un nuevo texto como la protección de la vida, la libertad, la dignidad, la diversidad y el respeto a los Derechos Humanos. 

Además, aseguró que se debe incluir a la familia como "el núcleo fundamental de la sociedad", junto a una serie de derechos civiles, políticos, económicos, sociales y culturales ». A ello sumó el principio de "igualdad de derechos y oportunidades entre hombres y mujeres".



lunes, 16 de diciembre de 2019




COP 25


    VERS UNE SYNTHÈSE 

Au delà des faibles résultât de la COP;
une évidence: la plupart des pays le plus industrialisés, le plus polluants et aussi autres…il ne veulent rien savoir avec une économie engagé avec les urgences climatiques, il assistent à la COP pour faire de business et bloquer des accord collectifs. 
 Tant que les politiques gouvernementaux du planète, n’intègrent les sciences de l’environnement, du changement climatique et l’écologie structurel, les COP restent divisée pour prend des mesures pratiques intercontinentaux pro le planète et la vie. Il devienne une réunion des deux mondes divisés, deux temps, et beaux mots d’intentions…

             Il me semble que tant que les COP il ne soient pas gérés par un cadre international d’experts sur les urgences climatiques, la présence des pays dominés par le seul intérêt du business et marchés des produits polluant, contraires aux propos des économies vertes, et le sens des COP, tout reste inutile. Il faut aller définitivement de l’avant.
(Elgodiv).

Presse local:
« le piètre résultat, obtenu après des heures de négociations stériles, aggrave le décalage entre les gouvernements du monde et la science, quant à la crise du climat et la nécessité d’agir de façon urgente. »- selon quotidienne EL PAIS-Espagne.

Le déroulé de la COP 25 et le contenu de son accord final ont déçu plusieurs titres de presse européens. Les 200 pays participants n'ont pas imposé la moindre avancée majeure. Les crédits carbone et l'effort de solidarité à l'égard des pays les plus vulnérables sèment la division.
Entre milieu…les quelques commentaires des quelques figures de la cause climatique….
   « Où sont les leaders ? »
« On a toujours les mêmes points de blocage sur la table!»
    Les pays riches (et dautres pas tellement riches)….« Ils font le business as usual, c'est inacceptable »

À Voir:


L’exception du « Green New Deal»
présenté et développée au sein de L’UE- Bruxelles et la COP25

 Dix jours après sa prise de fonction et pour ses premières grandes annonces, la présidente de la Commission européenne U. von der Leyen, dévoile le mercredi, devant le Parlement de Bruxelles, le vaste « Green Deal » (« Pacte vert ») qu'elle entend placer au coeur de son mandat.

Mercredi, selon le comptage du WRI, UNE PLATAFORME INTERNATIONALE D’EXPERT SUR LE CLIMAT, 80 ETATS FIGURAIENT AU RANG DES PAYS QUI, A CE JOURS, CE SONT DÉCLARÉS VOLONTAIRES POUR ACROITRE LEUR NDCs (IATA).
Pourtant ces Etats ne représentent en effet que 10,5 % des émissions mondiales. 
À VOIR: Une part du  le « green new deal », présenté mercredi à Bruxelles que
 permet potentiellement de doubler (les émissions de l'UE représentent 8,9 % du total mondial) et plus encore si la nouvelle Commission, à travers l'effort qu'elle vient d'annoncer, parvient à entraîner la Chine (23,4 % des émissions) dans son sillage et à déclencher un effet domino sur d'autres grands pays.


La neutralité carbone « est un impératif économique à long terme » et « ceux qui agiront les premiers […] seront ceux qui saisiront les opportunités de la transition écologique ». Dont acte : l'UE n'a beau représenter que 9 % des émissions carbones sur la planète, elle entend montrer la voie pour la sauver. « Le Pacte vert, c'est la nouvelle stratégie de croissance de l'Europe », a résumé Mme von der Leyen lundi 2 décembre devant la COP25 à Madrid.

                                   ***

lunes, 2 de diciembre de 2019

CLIMA - MONDE



NOUVELLES COP25

Résultats de recherche

Résultats Web


               COP25 - MADRID

COP25 - Sitio Oficial (english-espagnol)

https://www.cop25.cl

COP25 -  URGENT

(espagnol-français)

La COP25(195 pais + l’Union europea) como en todas las COP, es bueno que se organicen en rotaciones de diferentes países como anfitriones de todas las representaciones internacionales (y bajo los auspicios de las Naciones Unidas). Pero la PRESIDENCIA debe ser ejercida por una COMISIÓN INTERNACIONAL DE EXPERTOS EN EL ÁMBITO DE LA ECOLOGÍA Y EL CAMBIO CLIMÁTICO.

 La presidencia de esta enorme e importante reunión anual es un trabajo que requiere visión, conocimiento, experiencia y capacidad de sintetizar en relación con todas las posibles variables que se resolverán para el interés actual del PLANETA y NUESTRA VIDA.
No se puede dejar presidir por una sola persona que tampoco sea experta en la dirección planetaria para este evento de enorme trascendencia actual. Ha sido un error que se ha cometido, ha retrasado y entorpecido los objetivos casi siempre (los acuerdos de la COP21 en Francia fueron realizados por un grupo de personas con gran dificultad).

De esta manera, nos encontraremos en un punto muerto cada año y se pierde la gran oportunidad de organizar las variables que en este momento son enormes, relacionadas con cada país y el planeta, plenariamente con sus diferentes alternativas y poder combinar así en un todo coherente para todos!

Hay que ver esto con urgencia, resolverlo AHORA! ...

BENDICIONES!


 La COP25 (195 pays + l’Union européenne) comme dans toute les COP, c’est très bien qu’il y soient organisation des rotation en différents pays signataires, hôte des représentations internationaux des toutes les pays, (et sous l’égide des Nations-Unies). Mais, la PRÉSIDENCE il doit être exercé par une COMMISSION INTERNATIONAL D’EXPERTISE DANS LE DOMAINE D’ÉCOLOGIE ET DU CHANGEMENT CLIMATIQUE. 

 La présidence de cet enorme et importante réunion annuel, c’est une travail qui demande une vision, connaissance et capacité de synthèse par rapport à toutes les variables possibles à tenir et résoudre pour l’intérêt actuel du PLANÈTE et NOTRE VIE.
On peut pas le laisser à charge dune seule personne quil nest pas experte non plus dans la direction planétaire (!..) de cette enorme et éprouvant rencontre. Ca été un erreur qui traîne depuis toujours.

Dans cette manière, on vas se trouver dans l’impasse chaque année, on vas perdre la grand opportunité de maîtriser toutes les variables que dans ce moment sont enormes, relatives à chaque pays et planétairement avec ces différents alternatives, et pouvoir conjuguer, maîtriser dans un tout cohérent pour tous! 

Il faut voir de manière urgent ceci, le résoudre MAINTENANT!...

BÉNÉDICTIONS!

Elgodiv

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DESDE EL ESPACIO PARA LA COP25
 "He visto con mis ojos los terribles efectos del cambio climático en toda la tierra »..
Este miércoles Luca Parmitano, de la Agencia Espacial Europea, y quien se encuentra en la Estación Espacial Internacional, se contactó con la Tierra para participar de una conversación en la COP25. 

11 de Diciembre de 2019 | 14:30 | Redactado por Thomas Heselaars, Emol / DPA 142 Reuters 
Durante la décima jornada de la COP25, la cual es presidida por Chile, Luca Parmitano, astronauta italiano de la Agencia Espacial Europea, conversó con Antonio Guterres, secretario general de las Naciones Unidas, sobre la perspectiva que tiene del espacio de la crisis climática. En la actividad, el italiano confesó que "por primera vez he visto con mis ojos los terribles efectos del cambio climático". 
Parmitano es uno de los seis astronautas que se encuentra actualmente en la Estación Espacial Internacional. En la conversación con el ministro de Ciencia, Innovación y Universidades de España, Pedro Duque, y el secretario general de la ONU, António Guterres, relató su experiencia en el espacio.
 "Desde arriba, tenemos el privilegio único de poder mirar nuestro planeta con los ojos, es muy difícil y duro describir cómo se siente uno; yo lo que veo es que nuestro planeta es bellísimo, no soy capaz de expresar tanta belleza con palabras, hay tantísimos detalles, y no se pueden ver desde ningún otro lugar", no obstante, también reconoció que desde el espacio se puede apreciar su "increíble fragilidad". 
"Si nadie cuenta la historia, es como si no estuviera sucediendo. Se necesita un humano en el espacio para contar el lado humano de la historia, junto con los datos y las imágenes", agregó. 

NOTICIA RELACIONADA Informe internacional reafirma la importancia de la naturaleza para frenar la crisis climática

 Sobre las consecuencias de la crisis climática, el astronauta enfatizó que "La fragilidad es aterradora. He visto con mis propios ojos los terribles efectos del cambio climático". Por último, Parmitano manifestó que "el elemento más frágil somos nosotros, somos el eslabón más débil ».

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Il y a 3 jours - Ajouté par AFP
... à la COP25 dans la capitale espagnole à agir contre le réchauffement ... pour le climat 
Segunda y decisiva semana para la COP25
 Comienza la fase de "alto nivel" en negociaciones climáticas


En el marco de la Cumbre de Cambio Climático COP25
Ministro de Energía de Chile anuncia el cierre adelantado de centrales de generación a carbón.
Se trata de casi 700 megawatts de centrales a carbón que cesarán su funcionamiento anticipadamente.


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La COP25 à Madrid sous la présidence de Chili est expression et bon résultât, même que par défaut, du besoin du multilateralisme, spécialement s’agissant d’un affaire planétaire.  
Extraordinaire bon signe du besoin d'une mobilisation collective, intercontinental, global!
                    BONNE CHANCE À TOUS! 




    Les grands pays vont-ils enfin répondre à l’appel urgent du climat ?

Quatre ans après l’accord historique de Paris, en 2015, les émissions de gaz à effet de serre augmentent toujours dans le monde. Les nations du G20 doivent se montrent ambitieuses, à Madrid, où s’ouvre la COP25, ce lundi, pour dix jours.

La COP25 s'est ouverte à Madrid sous la présidence de Carolina Schmidt, ministre de l'Environnement du Chili
| THOMAS BREGARDIS / OUEST-FRANCE


Christelle GUIBERT.
Modifié le 02/12/2019 à 07h58 Publié le 02/12/2019 à 07h02

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Les grands pays manquent à l’appel urgent du climat. Quatre ans après l’accord historique de Paris, en 2015, les émissions de gaz à effet de serre augmentent toujours. Les nations du G20 doivent se montrent plus ambitieuses, à Madrid, où s’ouvre la COP25, ce lundi 2 décembre 2019.




Que doit-il se passer à Madrid ?

La 25e Conférence des parties ou Cop (chaque pays signataire de la Convention de l’ONU sur le changement climatique est “ une partie ”) qui se déroulera du 2 au 13 décembre, en Espagne, sera avant tout technique. “ Il s’agit de finaliser tous les mécanismes qui mettront en musique l’accord de Paris signé par 197 pays ”, explique Pierre Cannet, spécialiste climat de WWF.
Parmi eux, la mise en place d’un marché carbone, ou du système de compensation pour les pays les plus vulnérables au réchauffement climatique, alors qu’ils n’y ont pas contribué. C’est le cas du Vanuatu, nation du Pacifique sans industrie, menacé de submersion.
Depuis 2015, les délégations nationales s’arrachent les cheveux sur des formulations. “ Pendant qu’on perd du temps pour une virgule ou un point-virgule, mon peuple boit la même eau, de plus en plus rare, que son bétail ”, peste l’Africaine Hindou Oumarou Ibrahim, représentante des populations indigènes pour le climat.

Quel est le véritable enjeu de cette COP25 ?

Sortir d’une trajectoire qui conduirait à tenter de survivre sur une planète à 3,2 °C d’ici la fin du siècle. C’est ce qui guette l’humanité si les émissions de CO2 qu’elle produit, cause du réchauffement, ne diminuent pas très rapidement, ont prévenu deux rapports des Nations unies, lundi et mardi.
Les États doivent impérativement s’engager à réduire davantage leurs émissions. Les promesses de Paris n’ont pas été tenues : +1,7 % en 2018. Il faut mettre les bouchées doubles et même nettement plus : “ Une diminution de 7,6 % par an, chaque année, de 2020 à 2030 ”, dit l’ONU.
Selon les termes de l’accord de 2015, chaque État doit fournir un engagement chiffré de ses objectifs de réduction d’émission et la revoir tous les cinq ans. Mais ces contributions nationales de 2015 sont déjà insuffisantes. l’ONU demande donc aux grandes nations d’annoncer “ dès maintenant leur ambition pour 2020 ”.

Qui sont les bons élèves ?

Un seul pays, la République des îles Marshall, a déjà renforcé sa contribution. Après le sommet climat de septembre à New York, 68 pays ont promis de le faire, dont le Chili qui préside cette COP25 délocalisée en Espagne, pour cause de crise sociale.

44 autres pays, dont l’Union européenne qui représente ses 28 États membres, a annoncé qu’ils “ actualiseraient ” leurs objectifs. C’est aussi le cas de la Corée du Sud, le 13e émetteur mondial, encore trop dépendante du charbon.

Qui sont les freins de cet accord de Paris ?

Les États-Unis, puisque Trump a retiré son pays de l’accord et misé sur les hydrocarbures de schiste. Et la Chine, qui malgré ses efforts sur les énergies renouvelables, a produit 35 gigawatts supplémentaires d’électricité au charbon sur les six premiers mois de 2019, “ ruinant les efforts du reste du monde qui avait réussi à réduire sa production de 8,1 % ”, constate le sénateur Vert Ronan Dantec.
Si l’on ajoute l’Inde, ce trio est responsable de 85 % de la hausse des émissions du secteur énergétique.
L’ONU surveille de près trois autres riches nations qui tergiversent : le Japon, le Canada et la Turquie, qui toujours discrète sur le front du climat, a augmenté ses émissions de CO2 de 18 % entre 2015 et 2018.

Y a-t-il encore de l’espoir ?

Les grandes ONG ne veulent pas croire à la malédiction qui colle déjà à cette Conférence : elle devait avoir lieu au Brésil, le climatosceptique Bolsonaro n’en a pas voulu, et le Chili qui l’a remplacé au pied levé a dû y renoncer pour cause de contestation sociale…

Elles listent cinq raisons d’y croire : les villes du monde n’attendent pas l’échelon national, la jeunesse est dans la rue, les énergies renouvelables deviennent hypercompétitives, le désinvestissement dans les hydrocarbures continue (dont la Banque européenne d’investissement ce mois-ci) et les défenseurs du droit à l’environnement multiplient les offensives dans les tribunaux.



miércoles, 27 de noviembre de 2019

POLITIQUE - EUROPE



La Commission von der Leyen approuvée par une large majorité des eurodéputés


   Allemande naît à Bruxelles, en parlant anglais, français, allemand, Ursule von der Leyen à présenté le programme de ses commissaires.  La nouvelle présidente de la Commission européenne veut donner «un nouveau départ» à l’Europe, qui commence oficiellement ce Dimanche. 
La Commission von der Leyen approuvée par une large majorité des eurodéputés
Le Parlement européen, réuni en plénière à Strasbourg, a donné sans surprise son feu vert mercredi midi à la Commission d’Ursula von der Leyen, qui succèdera officiellement à celle du Luxembourgeois Jean-Claude Juncker dimanche. L’exécutif, avec le Belge Didier Reynders (MR, Renew Europe) au portefeuille de la Justice, a obtenu une large majorité des votes des eurodéputés, récoltant 461 voix en sa faveur, 157 contre, pour 89 abstentions. C’est davantage que le nombre de voix favorables obtenues à l’époque par la Commission Juncker (423 pour, 209 contre, 67 abstentions). 
«Mon message est simple: commençons à travailler», a déclaré Mme von der Leyen, dont l’entrée en fonction prévue le 1er décembre a dû être retardée d’un mois. Entre des candidats commissaires retoqués — trois, un chiffre sans précédent -, un Brexit toujours en attente et des intitulés de portefeuille polémiques, l’accouchement de l’équipe de l’ancienne ministre de la Défense d’Angela Merkel aura été laborieux.  S’exprimant tour à tour en anglais, français et allemand, Ursula von der Leyen a présenté les portefeuilles de ses commissaires qui l’entouraient dans l’hémicycle du Parlement à Strasbourg. 

« Green deal »

Elle a mis l’accent sur ses priorités pour les cinq années à venir, au rang desquelles le numérique et surtout la lutte contre le changement climatique, avec le «green deal» (pacte vert) promis pour le début de son mandat. «Si nous faisons bien notre travail, l’Europe de 2050 sera le premier continent du monde neutre en carbone, elle sera une puissance de premier plan dans le numérique, elle restera l’économie qui réussit le mieux à assurer l’équilibre entre le marché et le social, elle sera chef de file dans la résolution des grands enjeux mondiaux», a-t-elle déclaré en conclusion de son discours.

Première femme à prendre la présidence de l’exécutif européen, l’ex-ministre allemande du parti CDU (chrétiens-démocrates, groupe PPE au Parlement européen) n’avait été approuvée que de justesse par les eurodéputés en juillet dernier (383 voix pour, 327 contre, 22 abstentions, un nul). Quatre mois et quelques couacs plus tard, avec entre autres les rejets de trois commissaires désignés initiaux (France, Roumanie et Hongrie) et l’abandon de l’objectif d’une parité complète dans l’exécutif, elle semble avoir réussi à mobiliser davantage les parlementaires européens.

LE SOIR. be