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jueves, 30 de enero de 2020


UNION EUROPÉENNE (UE)





LES EURODÉPUTÉS ONT APPROUVÉS L’ACCORD DU RETRAIT DU ROYAUME UNIS DE L’UE

La Libre Belgique qualifie le moment « d’historique et d’infiniment triste ». 
En France, Le Figaro note qu’il y avait « beaucoup d’émotion, de chagrin et de larmes ». 
Le Soir évoque des adieux entre élus dans « tout ce qu’ils avaient de plus humain ».

Le discours du belge Guy Verhofstadt et son hommage aux 73 eurodéputés britanniques a été largement repris par la presse. 
« Ce vote, ce n’est pas un adieu, ce n’est qu’un au revoir » a rappelé le rapporteur du Brexit au Parlement européen. « C’est triste de voir une grande nation nous quitter. C’est triste de voir partir une nation qui nous a tant offert. Qui a sacrifié même son propre sang, dans deux guerres, pour libérer l’Europe. Comment cela a-t-il pu arriver ? » 

Le Brexit « est un échec dont nous sommes l’auteur » a-t-il commenté. (extrait)

 À VOIR:
AVEC LES COULEURS BRITANNIQUE (seul le vendredi sortie de  RU)

Alors que le Royaume-Uni quitte l’Union européenne (UE), Bruxelles célèbre l’amitié belgo-britannique avec l’événement « Brussels Calling » ce jeudi 30 janvier.

Samedi à minuit, lorsque les Britanniques quitteront l’UE, débutera une période de transition jusqu’à la fin de l’année.

L’acción d’un fermier anglais avec un de ses animaux...
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Edicion Elgodiv

viernes, 24 de enero de 2020

ISRAËL


 41 chefs d'État pour commémorer le 75e anniversaire de la libération d’Auschwitz.*

L'événement, qui a lieu à Yad Vashem, le Musée de l'Holocauste à Jérusalem, commémore le 75e anniversaire de la libération d'Auschwitz et cest à quelques jours de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'Holocauste, célébrée le 27 Janvier. 

Lors de l'événement, le président israélien Reuven Rivlin a remercié les près de 50 dirigeants internationaux présents "pour son attachement à la mémoire de l'Holocauste, son attachement aux citoyens du monde, à ceux qui croient en la dignité de l'homme".
À cet égard, il a souligné que la démocratie ne devait pas être tenue pour acquise et a averti que "si vous ne vous en souvenez pas, l'histoire peut se répéter". Il a également déclaré que "le racisme et l'antisémitisme sont une maladie maligne qui démantèle les peuples et les pays". "Aucune démocratie n'est à l'abri", a-t-il conclu.

  Dans le cadre des ces commémorations en Israel, le président Français Emmanuel Macron déplacé avec le ministre d’éducation et groupe ministériel, a réalisé un important discours aux français de Jérusalem.
  Il a signalé justement l’importance de l’Éducation dans son rol de transmission de la mémoire collective. 
Quelques autres point souligné de réflexion:
« L’antisémitisme il n’est pas un problème local, vers une culture , il s’agit de la démonstration d’haine plus grand qu’il a existé dans le monde ». Il exprime « la haine vers ‘l’autre’ » « Problème qu’il reflète dans un moment de notre histoire une crise de civilisation présent aujourd’hui partout…. »  « C’est le détournement des problèmes sociaux humaines des vraies raisons, dont la cause se trouve dans les échecs passées… »

« La haine s’oppose à la civilité, étant la civilité l’expression de notre liberté… »

  Adressé aux problèmes spécifiques locaux par rapport à Israel, il a souligné l’importance du respect du droit International, du respect d’un de l’autre, pour un processus de paix durable entre différents communautés. « Le respect des différents communautés représentants des trois grands religions monothéistes avec la présence du Saint Sépulcre, L’esplanade des mosquée et le Mur des lamentations… »
Il a rappelé que « la laïcité est le vivre ensemble avec toutes les religions ». 
Du Même il a signalée sur le rôle de la chrétienté comme tiers médiateur  est la possible voie d’équilibre…
  
  Personnellement je me permet d’ajouter que si bien les mouvements d’extrême droite il sont commencé partout la planète, il me semble que le grand catalyseur de l’antisémitisme et l’anti-sionisme actuel dans le monde, ça été par l’épouvantable politique de B. Nétanyahou vis à vis la Palestine en Israel. Présence politique et actions cause d’une grand division et frustration à l’intérieur même d’Israël.. depuis beaucoup!..
  Maintenant le problème que ce politique il a été renforcé par la présence et contagions d’autres politiques impérialistes d’extrême droite logés aux USA et ailleurs. ..
  La politique de médiation chrétienne actuellement, de facto, il nest pas présent.

* Selon analystes, l’importance plus grand du nazisme se trouve dans le fait que pour 1ère fois dans l’histoire une partie de l’humanité veut détruire l’autre…

    Le fait que actuellement il se commence à reproduire et manifester…reflète la répétition des mêmes symptômes du passé et l’effet du vide dans la transmission culturel- éducationnel.


edition Elgodiv

viernes, 3 de enero de 2020


MONDE



NUCLÉAIRE: la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne déclenchent une procédure contre l'Iran

Mardi, Londres, Paris et Berlin ont déclenché le mécanisme de règlement des différends prévu dans le texte de l'accord de Vienne afin de contraindre Téhéran à revenir au respect de ses engagements en matière nucléaire. Une initiative dénoncée par Téhéran qui pourrait de facto mener à terme au rétablissement de sanctions de l'ONU contre la République islamique.

La France, le Royaume-Uni et l'Allemagne ont engagé, mardi 14 janvier, une partie diplomatique complexe pour contraindre l'Iran à revenir au respect de ses engagements en matière nucléaire.
Les trois pays européens, cosignataires de l'accord de Vienne de 2015, ont activé la procédure de règlement des différends prévue dans le texte en cas de violation des engagements.
"Nous n'avons plus d'autre choix, étant donné les mesures prises par l'Iran", ont annoncé les chefs de la diplomatie des trois pays, Jean-Yves Le Drian, Dominic Raab et Heiko Maas, dans un communiqué commun.
Le 5 janvier, Téhéran a annoncé la "cinquième et dernière phase" de son plan de réduction de ses engagements, en riposte à la sortie des États-Unis de l'accord en 2018 et au rétablissement de lourdes sanctions américaines qui étranglent l'économie iranienne.


"Ce faisant, nos trois pays ne rejoignent pas la campagne visant à exercer une pression maximale contre l'Iran", ont toutefois souligné les trois ministres, laissant entendre qu'ils ne voulaient pas se joindre à la politique de sanctions des États-Unis.
Téhéran a répliqué à cette initiative en mettant en garde Berlin, Londres et Paris, contre "les conséquences" de leur décision de déclencher le processus de règlement des différends.

"Bien sûr, si les Européens [...] cherchent à abuser [de ce processus], ils doivent également être prêts à en accepter les conséquences, qui leur ont déjà été notifiées", a déclaré le ministère des Affaires étrangères iranien dans un communiqué.
Le texte laisse entendre que le pouvoir iranien ne croit guère aux déclarations "de bonne foi" des Européens selon lesquels ceux-ci ont "engagé cette action (...) en vue de préserver l'accord sur le nucléaire".

"La République islamique d'Iran, comme par le passé", rappelle son engagement à "maintenir cet important accord international" et elle "soutient toutes les initiatives constructives", est-il écrit dans le communiqué.

"Au contraire, elle indique une fois de plus à tout le monde, en particulier aux trois États européens parties à l'accord, qu'elle répondra avec sérieux et fermeté à toute déloyauté, mauvaise volonté ou action non constructive", ajoute le texte.
De son côté, la Russie a dénoncé la décision européenne, estimant qu'elle pouvait conduire à une "nouvelle escalade ».

Les Européens misent sur la diplomatie 
Le déclenchement du mécanisme de règlement des différends, dont Paris agitait la menace depuis plusieurs semaines, pourrait de facto mener à terme au rétablissement de sanctions de l'ONU.
Les Européens ne veulent toutefois pas "précipiter" ce scénario mais faire pression sur l'Iran pour sauver l'accord de 2015, souligne-t-on à Paris.
Ils prennent ainsi le contrepied de Donald Trump, qui les a appelés à sortir du texte et a décrété de nouvelles sanctions, le 8 janvier, après l'escalade militaire déclenchée par la mort du général Qassem Soleimani dans un tir de drone américain.
Paris, Berlin et Londres espèrent au contraire que la diplomatie reprenne ses droits dans la crise avec l'Iran. "Ce qu'ils veulent mettre sur la table en échange d'un rétropédalage iranien n'est pas clair. Cela pourrait continuer à miner le cadre du JCPOA", a averti Ellie Geranmayeh, experte à l'European Council on Foreign Relations (ECFR), dans un tweet.
Les Européens ne pèsent "pas bien lourd" politiquement et sont en outre divisés, relève Alex Vatanka, expert au Middle East Institute à Washington, qui s'attend à un "rapprochement" de Boris Johnson et Donald Trump.
Mardi, le Premier ministre britannique s’est dit prêt remplacer l'accord de 2015. "Le président Trump est un excellent négociateur (...). Travaillons ensemble pour remplacer (l'accord signé en 2015) et le remplacer par l'accord de Trump", a-t-il lancé sur la BBC. Des déclarations en contradiction avec les efforts entrepris par la diplomatie britannique, qui répète son attachement à l'accord.
De son côté, le président français Emmanuel Macron, qui avait tenté en vain d'organiser une rencontre entre les présidents Donald Trump et Hassan Rohani en 2019 pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien, reste prêt à jouer les bons offices.

"Nous considérons que cette initiative française n'a pas échoué. Il n'y a pas d'autre alternative (..) Il n'y a pas d'autre leader capable en ce moment de parler à tout le monde et de dire la même chose à tous", assure une source diplomatique française.


Avec AFP


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   USA INSISTE EN DÉSTABILISER L’IRAK
  MAINTENANT AVEC L'OBJECTIF D'IRAN


Qassem Soleimani tué par les États-Unis:
 «Le risque est une flambée généralisée» selon le président du Conseil européen Charles Michel

 Charles Michel est le premier dirigeant de l’UE à s’exprimer après la mort du général iranien Qassem Soleimani en Irak.
 Le président du Conseil européen, Charles Michel, a appelé vendredi à la cessation des violences en Irak, pointant le risque d’une «flambée généralisée de violence dans toute la région».
«Le cycle de violence, de provocations et de représailles dont nous avons été témoins en Irak ces dernières semaines doit cesser. Une nouvelle escalade doit être évitée à tout prix», a indiqué Michel dans un communiqué sans citer les parties nommément.
Il souligne que l’Irak reste un pays «très fragile», où la présence de «trop d’armes et trop de milices» ralentit le processus de retour à la vie normale des citoyens.

«Le risque est une flambée généralisée de violence dans toute la région et la montée des forces obscures du terrorisme qui prospèrent en période de tensions religieuses et nationalistes», ajoute l’ancien Premier ministre belge.

Charles Michel est le premier dirigeant de l’UE à s’exprimer après la mort du général iranien Qassem Soleimani en Irak, tué dans un raid à Bagdad sur décision du président américain Donald Trump.

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