Translate

sábado, 20 de julio de 2019

ARTE

73 EDITION FESTIVAL D’AVIGNON (COMPLETÉ)

affiche sur peinture de l’artiste syrienne Myriam Haddad

En programme du 4 au 28 Juillet
1600 spectacles du monde dans 133 lieux différents + la magnifique cour d’Honneur du Palais des Papes... dans l’hérésie total de l’art de jouer...


"l’Odyssée“ d’Homère pour en tirer les fils d'un théâtre multiculturel, éclectique et de la joie de vivre, dédié aux enfants, adultes et fatigués, qui redime l’inquiétante relais d’une épopée daujourdhui... 

Le Festival d'Avignon est aujourd'hui l'une des plus importantes manifestations internationales du spectacle vivant contemporain, pourtant le festival dAvignon il me semble qui représente le festival d’Art théâtral français par excellence: le théâtre qu'il réjoint tout les scénarios humains du proche, du vraie, du corps et de l’esprit possibles.
Sous l’abris du Palais des Papes et autres, on trouve la France du spectacle humain de rue, la qualité du village, le vertige de la pantomime, du clown merveilleux, de l’art de l’image intime, du regard proche, du close-up, la comédie de l’art, la musique et le drame universel actuel comme touchant peinture des couleurs... 

Il y a l’événement du site dans sa globalité et particulière dans les diférents scénarios centrés autour la cour d’Honneur des Papes. Le spectacle spontané de rue, ruelles, théâtres et le spectacle réflexive existentiel du monde abrité par limposent architecture- silhouettes du palais...

 Je veut m’arrêter dans « Architecture » de Pascal Rambert,1ère pièce théâtral exposé à la Cour d’honneur des Papes, qu’il montre comme miroir existentiel présent, une famille emblématique de l’art actuel....espèce de tour de babel où chacun il parle son propre langage..sans s’y trouver dans une unité cohérent. 
 Malgré l’isolément, il ne s’arrive pas au drame, oui l’angoisse de la solitude, malgré qu’il sont tous ensemble, mais chacun dans son langage. Pas de la place non plus au desespoir il y a de la présence et l’Art.. encore la possibilité d’aller pas vers l’autre illusoirement, sinon à l’intérieur seul de soi même...



L’oeuvre, « antesala » de la réalité, montre en fait qu'il n’y pas de la place au pessimisme...sinon à une forme d’idéalisme concret, main dans la main.. tous de blanc.


Bravo au magnifique réalité et existence du festival!


Elgodiv



No hay comentarios: