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viernes, 28 de junio de 2019

G20
OSAKA - SUMMIT 2019



DÉBUT OFFICIEL DU SOMMET DU G20 À OSAKA
Le sommet du G20 s’est officiellement ouvert vendredi à Osaka au Japon, une réunion à grands enjeux sur fond de fractures entre les dirigeants du monde, sur le commerce et le climat notamment.
Après la traditionnelle photo de famille, les 20 chefs d’Etat et de gouvernement plus invités mondiaux, ont entamé leurs débats, en l’occurrence sur l’économie du numérique, sous la houlette du Premier ministre du pays hôte, Shinzo Abe, entouré par Donald Trump et Xi Jinping, duo vedette de ces deux jours de réunions.
Les deux hommes doivent avoir samedi un entretien à haut risque pour tenter d’enrayer le conflit commercial et technologique qui les oppose.
Tandis que les dirigeants prenaient place pour la photo de groupe, au moment où la presse internationale est à l’affût du moindre geste ou aparté, le président chinois est allé serrer la main de son homologue américain.

G20 à Osaka
 Le sommet s'ouvre entre harmonie et divergences de fond
 Dix-neuf pays, l'Union européenne, plus invités mondiaux, ce sont réunis ce vendredi et samedi à Osaka, au Japon.
20 Minutes avec AFP
Publié le 28/06/19 à 08h02 — Mis à jour le 28/06/19 à 08h08

« Bienvenue à Osaka », a lancé Shinzo Abe, le Premier ministre du Japon, qui accueille, ce vendredi et samedi, le G20. Si ce dernier mise sur une « belle harmonie », les divergences entre les grands de ce monde demeurent.
« Ensemble, j’espère que nous réaliserons à Osaka une belle harmonie », a-t-il déclaré en référence à la signification de « Reiwa », nom de cette nouvelle ère. Flanqué d’un côté du président Trump, de l’autre du président chinois Xi Jinping, les deux grands rivaux du moment, Shinzo Abe a appelé à « trouver un terrain commun plutôt que de souligner les affrontements ».

« Nous avons le temps » de résoudre les tensions
A-t-il bien reçu ce message ? Le locataire de la Maison Blanche a multiplié à Osaka les amabilités et déclarations conciliantes, alors qu’il en avait étrillé certains ces derniers jours. Il a par exemple vanté les « magnifiques usines » construites par les constructeurs automobiles japonais aux Etats-Unis, après s’être moqué publiquement de la dépendance militaire du Japon envers les Etats-Unis. Donald Trump a aussi dit vouloir « bien s’entendre » avec l’Inde, dont il critique pourtant la politique commerciale. Sur l'Iran, l'un des grands sujets de crispation du moment, Donald Trump s'est aussi voulu apaisant. « Nous avons le temps » de résoudre les tensions, a-t-il dit, lui qui parlait encore il y a peu de « guerre » contre les Iraniens.
Avant la traditionnelle photo de famille, il est arrivé en grande et amicale conversation avec le Russe Vladimir Poutine, qui cherche à calmer le jeu en Iran. Puis Donald Trump a eu un échange visiblement cordial avec le prince héritier Mohammed Ben Salmane, partisan au contraire de la stratégie américaine de pression sur Téhéran. Donald Trump a aussi qualifié Angela Merkel de « femme fantastique », lors d’un tête-à-tête, lui qui avait parlé de partenaire « défaillant » à propos de l’Allemagne tout récemment.

Un entretien entre Donald Trump et Xi Jinping
 La chancelière allemande Angela Merkel en fin de carrière politique, elle symbolise peut-être plus que tout autre dirigeant la volonté de coopération qui avait conduit les leaders du G20 à se réunir pour la première fois en 2008, en pleine crise financière. La montée des populismes a mis à mal cette ambition de gouvernance mondiale, en particulier sur le commerce et le climat.
Loin de tout format multilatéral, Donald Trump et le président chinois Xi Jinping auront ainsi entre les mains, lors de leur entretien prévu samedi, le sort de l’économie mondiale. Washington menace de taxer la totalité des importations chinoises, ce qui serait certainement un point de non-retour dans le conflit commercial et technologique des deux géants. « L’unilatéralisme, le protectionnisme, et les pratiques de harcèlement sont en progression, ce qui constitue une grave menace », a déploré un responsable du ministère chinois des Affaires étrangères, Dai Bing. Nombre d’analystes espèrent malgré tout une trêve à Osaka.

Le progressisme, une idée « obsolète » pour Poutine
Autre sujet de tension: le climat. Les Etats-Unis ne veulent plus entendre parler de l’accord de Paris, et certains dirigeants comme le Brésilien Jair Bolsonaro rejettent toute critique occidentale sur leur politique environnementale. « Il est clair qu’il sera difficile d’obtenir une percée » sur ce thème, a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Les chefs d’Etat et de gouvernement ont également des divergences profondes sur la forme même que doit prendre l’action politique à l’ère de la mondialisation.

Vladimir Poutine a critiqué les idées progressistes des démocraties occidentales, dans une interview au Financial Times vendredi. Les progressistes « ne peuvent simplement pas dicter ce qu’ils veulent comme ils l’ont fait ces dernières décennies », a lancé l’homme fort de la Russie, saluant la politique dure de Donald Trump sur l’immigration illégale. Cette idée de progressisme « est devenue obsolète », a-t-il dit.
   Ce sont « l’autoritarisme, le culte de la personnalité et la loi des oligarques qui sont réellement obsolètes », a rétorqué le président du Conseil européen Donald Tusk.

OPINION
 Presidente Piñera junto al Prime Ministro de Japón, Shinzo Abe AFP OSAKA.
Sebastian Piñera critica proteccionismo en el G20 y llama a líderes a tomar medidas: "Veo poca acción en esta materia ».

"Un país no puede proteger a toda su economía a costa de desproteger a otros (...) Pero cuando el otro país reacciona haciendo lo mismo, se perjudican los dos y al mundo entero", dijo el Presidente. 

Fuente: Emol.com - https://www.emol.com/noticias/Nacional/2019/06/28/952830/Pinera-critica-proteccionismo-en-el-G20-y-llama-a-lideres-a-tomar-medidas-Veo-poca-accion-en-esta-materia.html

En medio de su participación en la Cumbre de Líderes del G20, el Presidente Sebastián Piñera criticó el proteccionismo, aludiendo a las negativas consecuencia de la guerra comercial entre Estados Unidos y China y la necesidad de tomar medidas. El Mandatario participó de la Sesión 1 del foro sobre finanzas, impuestos, lucha contra la corrupción, comercio e inversión, ocasión en que señaló que "ha habido periodos en nuestra historia de proteccionismo, en que el mundo entero se ha estancado e incluso se ha detenido ».
- "estamos reaccionando con un creciente proteccionismo que está debilitando la economía mundial, debilitando el comercio internacional, debilitando las inversiones y perjudicando a todos los países". "Por esa razón es muy importante tomar conciencia de que los que toman las decisiones y los que deciden lo que pasa y lo que no pasa son los que están sentados en esta mesa »

Medidas contra el proteccionismo

Piñera añadió la idea de "establecer reglas que garanticen un comercio justo, transparente, sin subsidios distorsionadores, que protejan la propiedad intelectual". A la vez que añadió que "tenemos que seguir avanzando en la integración a nivel regional con las distintas iniciativas. APEC tiene que transformarse en un mercado de libre comercio, que fue el objetivo original. Estamos muy cerca de avanzar en un TTP para unir economías que reúnen a una parte muy importante del mundo. Ése es el mandato que tenemos". 




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