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sábado, 29 de junio de 2019




Le G20 est-il encore "assez utile »? 

L'édition 2019 jette le doute

AFP Publié le - Mis à jour le 
NTERNATIONAL
Le jeu solo du président américain Donald Trump et la multiplication des rencontres bilatérales ont une nouvelle fois jeté le doute cette semaine sur la pertinence des sommets du G20, censés apporter une réponse unie aux crises mondiales.
La grand-messe des vingt économies majeures, avancées et émergentes, tenue vendredi et samedi à Osaka au Japon a été littéralement prise en otage par la rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping, qu'oppose depuis des mois un différend commercial.
"C'est maintenant la deuxième rencontre du G20 dont le principal événement est un rendez-vous qui n'a rien à voir avec le G20", s'est exclamé Thomas Bernes, du Centre d'innovation pour la gouvernance internationale, un groupe de réflexion canadien, en référence au précédent sommet fin 2018 à Buenos Aires où Xi et Trump avaient déjà volé la vedette.
Osaka a aussi été marqué par une série de rencontres à deux qui ont éclipsé les séances de travail communes, tandis que les représentants des pays de l'Union européennes y ont continué leurs propres tractations pour le renouvellement des principaux postes à Bruxelles.
"Aujourd'hui, de fait, le G20 est devenu un exercice qui s'apparente à l'Assemblée générale des Nations unies, qui permet à des décideurs de se rencontrer dans des bilatérales et d'échanger des vues sur les dossiers importants", a admis le président français Emmanuel Macron, estimant que le G20 n'était "pas assez utile" et appelant à une "réflexion collective" à ce sujet.
M. Trump a ainsi mené sa barque individuellement, lançant dans un tweet, avant de voir M. Xi vendredi, une invitation à rencontrer le leader nord-coréen Kim Jong Un, rencontrant le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane.
Et le climat?
Plus largement, le G20, qui compte pour plus 85% du PIB mondial et deux tiers de la population de la planète, a ces dernières années des difficultés à prôner l'union et à condamner le protectionnisme dans les échanges commerciaux dans sa déclaration finale.
La rédaction de ce texte plein de bonnes intentions, exercice diplomatique de haute voltige, est devenue presque impossible depuis l'entrée en fonctions début 2017 de Donald Trump.
Il y a plus de dix ans en novembre 2008, les dirigeants du G20 (Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud, États-Unis, France, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Royaume-Uni, Russie, Turquie et Union européenne) avaient lors de leur première réunion défendu le "multilatéralisme".
Cette promesse, pourtant bien vague et consensuelle, est à présent presque impensable.
"Les différends bilatéraux, en particulier entre les Etats-Unis et la Chine menacent d'éroder de manière sensible le système de commerce mondial fondé sur des règles et construit sur plusieurs décennies", estime Adam Slater, analyste d'Oxford Economics.
Selon les estimations de son cabinet d'études la croissance du commerce mondial est tombée à zéro début 2019, contre 6% en glissement annuel début 2018.
Autre grande crise et urgence sur laquelle devaient avancer les membres du G20, le climat souffre des faiblesses du G20.
"Sur le carreau"
"L'accord de Paris a fait date mais le paysage de la politique mondiale a changé de façon spectaculaire en particulier depuis le début de la présidence Trump", commente Takehiko Yamamoto, professeur honoraire à l'Université Waseda de Tokyo.
Les membres du G20 ont conclu samedi à Osaka un accord sur le climat, à l'exception des Etats-Unis comme lors des deux précédents sommets, sans plus.
"La conséquence regrettable sur le changement climatique souligne les limites du G20: ils sont sur le même bateau mais avec des intérêts différents", résume M. Yamamoto.
"Les Japonais, du fait de leurs propres préoccupations avec les Etats-Unis sur les questions commerciales et la Corée du Nord, n'ont clairement pas voulu contrarier les Américains. On a vu cela sur le commerce, on voit cela sur le climat", ajoute M. Bernes faisant remarquer que la situation avait été similaire avec l'Argentine et risque de perdurer en Arabie Saoudite, où se déroulera le G20 en 2020.
"Je suis certain qu'ils adopteront la même position qui consiste à ne pas mettre Trump dans une situation difficile. Ce qui signifie que c'est le reste du G20 qui restera sur le carreau", a-t-il lancé, incitant à "explorer de nouveaux modèles de coopération, plurilatéraux ou régionaux".
AFP

viernes, 28 de junio de 2019

G20
OSAKA - SUMMIT 2019



DÉBUT OFFICIEL DU SOMMET DU G20 À OSAKA
Le sommet du G20 s’est officiellement ouvert vendredi à Osaka au Japon, une réunion à grands enjeux sur fond de fractures entre les dirigeants du monde, sur le commerce et le climat notamment.
Après la traditionnelle photo de famille, les 20 chefs d’Etat et de gouvernement plus invités mondiaux, ont entamé leurs débats, en l’occurrence sur l’économie du numérique, sous la houlette du Premier ministre du pays hôte, Shinzo Abe, entouré par Donald Trump et Xi Jinping, duo vedette de ces deux jours de réunions.
Les deux hommes doivent avoir samedi un entretien à haut risque pour tenter d’enrayer le conflit commercial et technologique qui les oppose.
Tandis que les dirigeants prenaient place pour la photo de groupe, au moment où la presse internationale est à l’affût du moindre geste ou aparté, le président chinois est allé serrer la main de son homologue américain.

G20 à Osaka
 Le sommet s'ouvre entre harmonie et divergences de fond
 Dix-neuf pays, l'Union européenne, plus invités mondiaux, ce sont réunis ce vendredi et samedi à Osaka, au Japon.
20 Minutes avec AFP
Publié le 28/06/19 à 08h02 — Mis à jour le 28/06/19 à 08h08

« Bienvenue à Osaka », a lancé Shinzo Abe, le Premier ministre du Japon, qui accueille, ce vendredi et samedi, le G20. Si ce dernier mise sur une « belle harmonie », les divergences entre les grands de ce monde demeurent.
« Ensemble, j’espère que nous réaliserons à Osaka une belle harmonie », a-t-il déclaré en référence à la signification de « Reiwa », nom de cette nouvelle ère. Flanqué d’un côté du président Trump, de l’autre du président chinois Xi Jinping, les deux grands rivaux du moment, Shinzo Abe a appelé à « trouver un terrain commun plutôt que de souligner les affrontements ».

« Nous avons le temps » de résoudre les tensions
A-t-il bien reçu ce message ? Le locataire de la Maison Blanche a multiplié à Osaka les amabilités et déclarations conciliantes, alors qu’il en avait étrillé certains ces derniers jours. Il a par exemple vanté les « magnifiques usines » construites par les constructeurs automobiles japonais aux Etats-Unis, après s’être moqué publiquement de la dépendance militaire du Japon envers les Etats-Unis. Donald Trump a aussi dit vouloir « bien s’entendre » avec l’Inde, dont il critique pourtant la politique commerciale. Sur l'Iran, l'un des grands sujets de crispation du moment, Donald Trump s'est aussi voulu apaisant. « Nous avons le temps » de résoudre les tensions, a-t-il dit, lui qui parlait encore il y a peu de « guerre » contre les Iraniens.
Avant la traditionnelle photo de famille, il est arrivé en grande et amicale conversation avec le Russe Vladimir Poutine, qui cherche à calmer le jeu en Iran. Puis Donald Trump a eu un échange visiblement cordial avec le prince héritier Mohammed Ben Salmane, partisan au contraire de la stratégie américaine de pression sur Téhéran. Donald Trump a aussi qualifié Angela Merkel de « femme fantastique », lors d’un tête-à-tête, lui qui avait parlé de partenaire « défaillant » à propos de l’Allemagne tout récemment.

Un entretien entre Donald Trump et Xi Jinping
 La chancelière allemande Angela Merkel en fin de carrière politique, elle symbolise peut-être plus que tout autre dirigeant la volonté de coopération qui avait conduit les leaders du G20 à se réunir pour la première fois en 2008, en pleine crise financière. La montée des populismes a mis à mal cette ambition de gouvernance mondiale, en particulier sur le commerce et le climat.
Loin de tout format multilatéral, Donald Trump et le président chinois Xi Jinping auront ainsi entre les mains, lors de leur entretien prévu samedi, le sort de l’économie mondiale. Washington menace de taxer la totalité des importations chinoises, ce qui serait certainement un point de non-retour dans le conflit commercial et technologique des deux géants. « L’unilatéralisme, le protectionnisme, et les pratiques de harcèlement sont en progression, ce qui constitue une grave menace », a déploré un responsable du ministère chinois des Affaires étrangères, Dai Bing. Nombre d’analystes espèrent malgré tout une trêve à Osaka.

Le progressisme, une idée « obsolète » pour Poutine
Autre sujet de tension: le climat. Les Etats-Unis ne veulent plus entendre parler de l’accord de Paris, et certains dirigeants comme le Brésilien Jair Bolsonaro rejettent toute critique occidentale sur leur politique environnementale. « Il est clair qu’il sera difficile d’obtenir une percée » sur ce thème, a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Les chefs d’Etat et de gouvernement ont également des divergences profondes sur la forme même que doit prendre l’action politique à l’ère de la mondialisation.

Vladimir Poutine a critiqué les idées progressistes des démocraties occidentales, dans une interview au Financial Times vendredi. Les progressistes « ne peuvent simplement pas dicter ce qu’ils veulent comme ils l’ont fait ces dernières décennies », a lancé l’homme fort de la Russie, saluant la politique dure de Donald Trump sur l’immigration illégale. Cette idée de progressisme « est devenue obsolète », a-t-il dit.
   Ce sont « l’autoritarisme, le culte de la personnalité et la loi des oligarques qui sont réellement obsolètes », a rétorqué le président du Conseil européen Donald Tusk.

OPINION
 Presidente Piñera junto al Prime Ministro de Japón, Shinzo Abe AFP OSAKA.
Sebastian Piñera critica proteccionismo en el G20 y llama a líderes a tomar medidas: "Veo poca acción en esta materia ».

"Un país no puede proteger a toda su economía a costa de desproteger a otros (...) Pero cuando el otro país reacciona haciendo lo mismo, se perjudican los dos y al mundo entero", dijo el Presidente. 

Fuente: Emol.com - https://www.emol.com/noticias/Nacional/2019/06/28/952830/Pinera-critica-proteccionismo-en-el-G20-y-llama-a-lideres-a-tomar-medidas-Veo-poca-accion-en-esta-materia.html

En medio de su participación en la Cumbre de Líderes del G20, el Presidente Sebastián Piñera criticó el proteccionismo, aludiendo a las negativas consecuencia de la guerra comercial entre Estados Unidos y China y la necesidad de tomar medidas. El Mandatario participó de la Sesión 1 del foro sobre finanzas, impuestos, lucha contra la corrupción, comercio e inversión, ocasión en que señaló que "ha habido periodos en nuestra historia de proteccionismo, en que el mundo entero se ha estancado e incluso se ha detenido ».
- "estamos reaccionando con un creciente proteccionismo que está debilitando la economía mundial, debilitando el comercio internacional, debilitando las inversiones y perjudicando a todos los países". "Por esa razón es muy importante tomar conciencia de que los que toman las decisiones y los que deciden lo que pasa y lo que no pasa son los que están sentados en esta mesa »

Medidas contra el proteccionismo

Piñera añadió la idea de "establecer reglas que garanticen un comercio justo, transparente, sin subsidios distorsionadores, que protejan la propiedad intelectual". A la vez que añadió que "tenemos que seguir avanzando en la integración a nivel regional con las distintas iniciativas. APEC tiene que transformarse en un mercado de libre comercio, que fue el objetivo original. Estamos muy cerca de avanzar en un TTP para unir economías que reúnen a una parte muy importante del mundo. Ése es el mandato que tenemos". 




martes, 25 de junio de 2019





AWARDS

 architect newswire

Arata Isozaki Named 2019 Pritzker Prize Laureate

The Japanese architect is the 46th individual to receive the international honor


2019 Pritzker Prize Laureate Arata Isozaki, Hon. FAIA
courtesy Arata Isozaki & Associates2019 Pritzker Prize Laureate Arata Isozaki, Hon. FAIA
Japanese architect Arata Isozaki, Hon. FAIA, has won the 2019 Pritzker Architecture Prize. Isozaki is the 46th individual to receive the Pritzker—and the eighth native of Japan—since American Philip Johnson received the initial award in 1979. Japan and the United States are now tied with the most laureates by nationality. The prize will be presented at a ceremony at the Palace of Versailles this May, with a public lecture in Paris.
Many of Isozaki’s early memories are of World War II. His hometown of Ōita is almost exactly midway between Hiroshima and Nagasaki, where the United States dropped atomic bombs in 1945, when he was 14. “When I was old enough to begin an understanding of the world, my hometown was burned down,” he says in his Pritzker Prize biography. “So, my first experience of architecture was the void of architecture, and I began to consider how people might rebuild their homes and cities.” 



Nara Centennial Hall (1999) in Nara, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
E Hisao SuzukiNara Centennial Hall (1999) in Nara, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
He graduated in 1954 from the University of Tokyo and worked for 1987 Pritzker Prize laureate Kenzo Tange before opening his own office in 1963. Over six decades, Isozaki’s work has spanned numerous stylistic variations, indicative of an inquiring sensibility that has embodied many global movements over the period. And global offices have followed in course: In 1984, he opened Arata Isozaki & Asociados España in Barcelona, Spain; in 2004, he opened Arata Isozaki & Associates Shanghai, now known as Isozaki+HuQian Partners; and in 2005, he co-founded Arata Isozaki & Andrea Maffei Associati in Milan with Italian architect Andrea Maffei.




Oita Prefectural Library (1966) in Oita, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
Yashurio IshimotoOita Prefectural Library (1966) in Oita, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
His most important early work was built in his hometown. The jury citationcalls the Ōita Prefectural Library (1966) “a masterpiece of Japanese Brutalism.” No longer used as a library, the building was repurposed as an art gallery in 1996



Museum of Contemporary Art in Los Angeles (1986), designed by Arata Isozaki & Associates
Yasuhiro IshimotoMuseum of Contemporary Art in Los Angeles (1986), designed by Arata Isozaki & Associates
Three built structures in the United States include the Museum of Contemporary Art (MOCA) Los Angeles (1986), Team Disney in Orlando, Fla. (1991), and the Center of Science and Industry (COSI) in Columbus, Ohio (1999). The first two combine the neo-rationalist and postmodern sensibilities that were emblematic of the period. MOCA’s design combines arches, red sandstone, and pyramidal skylights to provide an abstracted image perfectly suited to establishing a logo that is indistinguishable from the building. The Team Disney building features a central six-story-tall open-roofed rotunda that operates as an enormous sundial. COSI appends a long, low, curving form to a modest existing structure, and reprises a central rotunda, albeit in more modest form. Each of Isozaki’s American buildings seem to balance a boldness of forms with a desire for quiet modesty—a difficult knife edge to tread.




Palau Sant Jordi (1990) in Barcelona, Spain, designed by Arata Isozaki & Associates
Hisao SuzukiPalau Sant Jordi (1990) in Barcelona, Spain, designed by Arata Isozaki & Associates
His lifelong interest in both local and global culture—and a desire to bring people together—are obvious in a project from the late 1980s. Isozaki invited a group of architects, including Steven Holl, FAIA, and 2000 Pritzker Prize laureate Rem Koolhaas, Hon. FAIA, to design housing in Fukuoka, Japan. The structures reflect a specific moment in time, but are also indicative of Isozaki’s generosity of spirit in providing architecturally significant housing while supporting his colleagues and peers.




Qatar National Convention Centre (2011) in Doha, Qatar, designed by Arata Isozaki & Associates
Suzuki HisaoQatar National Convention Centre (2011) in Doha, Qatar, designed by Arata Isozaki & Associates
More recently, the memorable canopy for his Qatar National Convention Centre (2011) in Doha is held aloft by two enormous branching columns—based on the local sidra tree—that create a long-span Seussian arboretum. 
The choice of Isozaki as the 2019 laureate is a surprise, and yet not a surprise. One could imagine that Isozaki’s likely time to win the Pritzker was several decades ago, but few could find fault with the place of his work in history among fellow laureates. 



Shanghai Symphony Orchestra in Shanghai, designed by Arata Isozaki & Associates
Chen HaoShanghai Symphony Orchestra in Shanghai, designed by Arata Isozaki & Associates
When Isozaki won the RIBA Royal Gold Medal in 1986, he was only the second Japanese architect to win the award (Tange had won the same honor two decades earlier) and seemed a predictable Pritzker pick. In fact, Isozaki served on the jury for the prize from 1979 to 1984, indicating the professional esteem he held as an architect then in his late 40s and early 50s. Tange was named the first Japanese Pritzker laureate in 1987, followed by Isozaki’s contemporary Fumihiko Maki, Hon. FAIA, in 1993. The next quarter century would see five more Japanese winners, each between one and three decades younger than Isozaki. 






Domus—Interactive museum of Man (1995) in Galicia, Spain, designed by Arata Isozaki, Hon. FAIA, and César Portela
Hisao SuzukioDomus—Interactive museum of Man (1995) in Galicia, Spain, designed by Arata Isozaki, Hon. FAIA, and César Portela
Isozaki is the third oldest person to win the award—only Balkrishna Doshi, Hon. FAIA (2018) and Frei Otto (2015) were older—and Otto died after being selected, but before the announcement could be made public (the Pritzker is only awarded to living architects). Isozaki is the 10th winner to have been born in the 1930s, tying the number born in the 1920s.




Kitakyushu Central Library in Kitakyushu, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
Yasuhiro IshimotoKitakyushu Central Library in Kitakyushu, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
From year to year, Pritzker Prize laureates seem to vacillate between valedictory plaudits for well-known career outputs and younger professionals whose career trajectories can be significantly altered by the immense spotlight and validation that the Pritzker bestows. The three oldest winners have all been selected in the past five years.



Museum of Modern Art, Gunma (1974), in Takasaki, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
courtesy Arata Isozaki & AssociatesMuseum of Modern Art, Gunma (1974), in Takasaki, Japan, designed by Arata Isozaki & Associates
The 2019 Pritzker Architecture Prize jury was comprised of chair and U.S. Supreme Court Justice Stephen Breyer; architecture critic and curator André Aranha Corrêa do Lago; 2007 Pritzker laureate and 2019 AIA Gold MedalistRichard Rogers, Hon. FAIA; 2010 Pritzker laureate Kazuyo Sejima; architect Benedetta Tagliabue; chairman of Tata Group, Ratan N. Tata; 2012 Pritzker laureate Wang Shu; and executive director of the Pritzker Prize and dean of the Madrid's IE School of Architecture & Design, Martha Thorne.
Edward Keegan, AIA

jueves, 13 de junio de 2019

BRASIL



  La crisis sanitaria que enfrenta el Gobierno de Bolsonaro tras la retirada de más de 8.000 médicos cubanos

En 2013, la ex Mandataria del gigante sudamericano, Dilma Rousseff, firmó con Cuba un convenio en que la isla enviaba especialistas para combatir la escasez de éstos en el sector público, pero la llegada del actual Presidente cambió las cosas.


"La decisión del Presidente electo fue unilateral e irrespetuosa, al criticar por Twitter los términos del convenio firmados durante mi Gobierno y renovado, sin modificaciones, hasta por el Gobierno de Temer. Prescindieron, por absoluta soberbia, de las posturas diplomáticas requeridas en las relación entre países" Dilma Rousseff, ex Presidenta de Brasil 

VER:

viernes, 7 de junio de 2019


COMMÉMORATION


                                                          D-DAY 
    75 ANNIVERSAIRE DU DÉBARQUEMENT

 REMARQUABLE ET TRÈS SIGNIFIANT EMPHASE HUMAIN DES ACTES LES DEUX JOURS D’ANNIVERSAIRE.
Important remerciement du président de France E. Macron aux peuples alliées avec  
appelle à "ne jamais cesser de faire vivre l’alliance et union des peuples libres » 
et émouvant reconnaissance aux vétérans combattant survivants avec cérémonies et gestes de transmission de leur mission.
Quelques images: 


2 days ago
D-Day: un émouvant "chant des partisansentonné à Portsmouth lors de la cérémonie d'hommage. par BFMTV ...
ACTEURS DU DÉBARQUEMENT AUX CÔTES DE NORMANDIE
VOIR (en espagnol)

A 75 años del "Día D": Un repaso por el campo de batalla que marcó una senda en la II Guerra Mundial Más de 300 mil aliados se dirigieron en 1944 a la costa de Normandía, en el norte de Francia, para marcar terreno en la ocupación nazi que vería su caída 11 meses después.  Infografía de los actores que encarnaron el conflicto y las cifras que ilustraron la victoria. 

VOIR:

06 de Junio de 2019 | 06:00 | Por Equipo Multimedia, Emol. 232

Infografía: C. Fiol, El Mercurio | Ilustración 3D: R. Olivares A., El Mercurio | Adaptación web: León Navarro Z., Emol |Contenidos: El Mercurio | Fuente: GN / MCT / Reuters

Fuente: Emol.com 




domingo, 2 de junio de 2019



POLITIQUE FRONTAL

     C’est un grand plaisir voir un homme dans le pouvoir qu'il s’exprime ouvertement avec lucidité, courage et...sans ambiguïté. 
TRUMP, «  FASCISTE » AUQUEL LONDRES NE DEVRAIT PAS DÉROULER LE TAPIS ROUGE » (REUTERS)

Dans “The Observer” ce week-end, à la veille d’une visite de Donald Trump lundi à Londres, le maire londonien Sadiq Khan a comparé le discours du président américain à celui des “fascistes du XXe siècle”, critiquant le tapis rouge qui va lui être déroulé lors d’une visite de trois jours. “Dans les années à venir, je crains que cette visite d’Etat ne soit revue avec un profond regret et l’aveu que nous étions du mauvais côté de l’histoire.”

“Le président Trump est juste l’un des exemples les plus extrêmes d’une menace globale grandissante. »

 L’extrême droite grimpe à travers le monde, menaçant les droits et libertés difficilement gagnés ainsi que les valeurs qui définissent nos sociétés libérales démocratiques depuis plus de 70 ans”, estime Sadiq Khan, après une introduction cinglante. “Viktor Orban en Hongrie, Matteo Salvini en Italie, Marine Le Pen en France et Nigel Farage ici au Royaume-Uni utilisent les mêmes tropes clivants que les fascistes du XXe siècle pour glaner du soutien, mais avec de nouvelles méthodes sinistres pour délivrer leur message. Et ils sont en train de gagner du terrain, du pouvoir et de l’influence dans des endroits qui auraient été impensables il y a seulement quelques années”, analyse le maire de Londres.


Sur Trump, Khan ajoute: “C’est un homme qui a essayé d’exploiter les peurs des Londoniens après une horrible attaque terroriste dans notre ville, amplifié les tweets d’un groupe raciste d’extrême droite britannique, dénoncé telle une ‘fake news’ la preuve scientifique robuste alertant du changement climatique, et essaie maintenant sans vergogne d’interférer dans la course à la direction du parti conservateur en soutenant Boris Johnson parce qu’il croit que ça lui permettrait d’avoir un allié au 10 (Downing Street, résidence du Premier ministre, ndlr) pour son agenda de division.” 

7sur7



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