INAUGURATION
MUSEE DE CONFLUENCES - LYON- FRANCE
www.museedesconfluences.fr/
UN MUSÉE POUR S’EMERVEILLER DE LA VIE, LA TERRE, L’ETRE HUMAIN
Le 20 décembre 2014 il a ouvert un lieu de rencontres dédié à la connaissance et au merveilleux.
Météorites, ammonites, oiseaux de Cochinchine, microscope de Huygens, mandibule d’Homo Sapiens, Spoutnik, sculptures sénoufo, armures de Samouraï… Par une intelligence de regards croisés, les pièces présentées dans ces quatre univers participent aux mises en récit de la Terre et des Hommes.
Constituées depuis le XVIIe siècle, les collections du musée des Confluences sont faites de curiosités infinies, issues d’érudits et d’amateurs passionnés, enrichies de compléments rationnels ou d’engouements d’une époque. Plus de 2 millions d’objets participent à la richesse des expositions permanentes et temporaires, ces dernières étant renouvelées au fil des saisons culturelles, au rythme de 4 à 6 expositions par an.
Au confluent du Rhône et de la Saône, le musée s’installe au coeur d’une structure monumentale entre cristal et nuage, conçue par Coop Himmelb(l)au, unique réalisation française de cette agence autrichienne connue dans le monde entier pour son architecture de l’école déconstructiviste.
Édifice unique au monde par son point de vue sur la confluence et son architecture ; projet inédit dans l’univers varié des musées, dévoilé maintenant au public, le musée des Confluences, initié par le Département du Rhône, répond au défi de s’adresser au plus grand nombre.
L’architecte autrichien Coop Himmelb, connu pour ses conceptions légère et futuriste a été désigné afin de représenter le musée des sciences et des sociétés. Sa conception s’est aussi vue attribuée le nom de « musée de France » par le ministère de la Culture et de la Communication.
Entre les nuages et le Crystal, le musée des Confluences a tout d’un bâtiment léger et moderne et arrive à combiner le sûr de l’incertain et l’irréel du réel.
Désirant créer une ambiance de détente, l’architecte autrichien a conçu un musée se tenant sur un socle. Le socle, quant à lui, semblera flotter sur un nuage et sera tenu grâce à 14 poteaux. Afin de bien insister sur l’aspect aérien, une enveloppe métallique sera utilisée ce qui permettra aux paysages environnants de se refléter dedans. La Cristal formera l’entrée du bâtiment sous forme de forum urbain et se fondra dans l’environnement et les passerelles de liaison du musée formeront un puits de gravité. Le futur musée de 22 000m² sera donc représenté sous la forme de vaisseau spatial afin d’expliquer aux différents visiteurs, l’origine de l’Homme, le tout abrité sur 4 niveaux différents.
Afin de respecter les normes environnementales, le maître d’ouvrage a souhaité s’engager pleinement en réduisant les nuisances sonores de la construction, en diminuant la consommation des énergies telles que l’électricité. Il en est de même pour la consommation de l’eau qui sera remplacée par l’utilisation des nappes phréatiques.
Entre les nuages et le Crystal, le musée des Confluences a tout d’un bâtiment léger et moderne et arrive à combiner le sûr de l’incertain et l’irréel du réel.
Désirant créer une ambiance de détente, l’architecte autrichien a conçu un musée se tenant sur un socle. Le socle, quant à lui, semblera flotter sur un nuage et sera tenu grâce à 14 poteaux. Afin de bien insister sur l’aspect aérien, une enveloppe métallique sera utilisée ce qui permettra aux paysages environnants de se refléter dedans. La Cristal formera l’entrée du bâtiment sous forme de forum urbain et se fondra dans l’environnement et les passerelles de liaison du musée formeront un puits de gravité. Le futur musée de 22 000m² sera donc représenté sous la forme de vaisseau spatial afin d’expliquer aux différents visiteurs, l’origine de l’Homme, le tout abrité sur 4 niveaux différents.
Afin de respecter les normes environnementales, le maître d’ouvrage a souhaité s’engager pleinement en réduisant les nuisances sonores de la construction, en diminuant la consommation des énergies telles que l’électricité. Il en est de même pour la consommation de l’eau qui sera remplacée par l’utilisation des nappes phréatiques.
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