AVISO DE CHILE:
Queridos Amigos;
Esperamos se encuentren muy bien!!, disfrutando del soleado verano.
Les queremos invitar a participar de los cursos dispuestos para aprovechar las vacaciones y el buen tiempo que nos brinda el Verano:
TALLER DE PERMACULTURA PARA NIÑOS
SÁBADO 30 DE ENERO 2010 , DE 9:30 A 16:30HRS. EN MOLINA(descuento para hermanitos y grupo de niños)
TALLER DE ECOTECNOLOGÍAS EN LA PERMACULTURA
5,6 Y 7 DE FEBRERO 2010, EN MOLINA CURSO DE INTRODUCCIÓN A LA PERMACULTURA
EN TRAFKURA12,13 Y 14 DE FEBRERO 2010
CURSO DE BIOCONSTRUCCIÓN EN LA PERMACULTURA
19,20 Y 21 DE FEBRERO 2010, EN MOLINA Descuentos a parejas, grupos, estudiantes si te inscribes con 13 días de antelación.
Para mayor información, programa, visita el blog: http://www.permaculturadelsur.blogspot.com/ INSCRIPCIONES AL CORREO: permaculturadelsur@gmail.com o teléfono: (056)(075) 523280 También te invitamos a cotizar nuestros servicios, para tu diseño y bioconstrucción de espacios, el presupuesto referencial es gratuito!
SALUDOS FRATERNOS!!--
P E R M A C U L T U R A D E L S U R
Eco Diseño Integral & Bioconstrucción para la Sustentabilidad
Web: http://www.permaculturadelsur.cl/Blog: http://www.permaculturadelsur.blogspot.com/Teléfono: (056) (075) 523280
Dirección: Manuel Galant 1714,Molina,
Biorregión del Maule,Chile
Translate
domingo, 31 de enero de 2010
viernes, 22 de enero de 2010
Solution d'emergence: architecture ecologique bio-sustentable
Superadobe : Des maisons en terre bon marché
Système développée et répandu dès les civilisations méditerranéennes par tout le monde avec un clima compatible, la construction en adobe c’est une technique ré-considérée depuis longtemps dans l’architecture écologique bio- sustentable. Voici un exemple de ce qui peut donner dans l’expérience d’un architecte :
Des maisons écologiques qui résistent aux incendies, aux tremblements de terre et ne coûtent presque rien: sorties du désert en Californie (ouest), les habitations universelles de l'architecte Nader Khalili pourraient même un jour pousser sur la Lune.
Installé à Hesperia, ville aux portes du désert au nord-est de Los Angeles, le village expérimental de M. Khalili a au premier abord des allures de champignonnière. Mais en s'approchant, on distingue portes et fenêtres dans ces petits bâtiments ronds, hauts de moins de trois mètres.
Ces édifices se confondent avec le paysage du désert grâce à leur couleur sable. Et pour cause: les matériaux qui ont servi à les élaborer sont sortis du sol à quelques mètres de là.
"Le retour à la terre m'a semblé évident.
Je n'ai rien inventé, toutes les civilisations méditerranéennes ont utilisé la terre sur laquelle elles vivaient pour bâtir", dit cet architecte d'origine iranienne, installé aux Etats-Unis depuis 1971. Ancien architecte de gratte-ciel, il a fait aboutir son concept dans le "CalEarth Institute" (Institut pour l'architecture et l'art de la terre de Californie) qu'il anime à Hesperia...
"On creuse le sol. La terre est rassemblée dans des sacs, fermés. Empilés, on les fixe avec des fils barbelés", détaille ce petit homme à la barbe poivre et sel et aux yeux malicieux. "Tout est dans la forme arrondie, pour les petits dômes comme pour la grande maison: tout repose sur l'arc.
La forme traditionnelle d'une maison carrée avec des murs verticaux, c'est l'idéal pour qu'elle s'écroule un jour. Avec l'arc, rien ne peut tomber", affirme-t-il. Une fois montée, la maison est brûlée de l'intérieur et une coquille de terre cuite vient ainsi sceller l'édifice.
Au total, une grande maison ne coûte que 90.000 dollars et la sueur de trois personnes pendant une semaine.
Baptisée "superadobe", allusion aux premières maisons en terre construites par les colons espagnols de Californie, elle est en outre alimentée en énergie propre et bénéficie d'une climatisation naturelle, grâce à des ouvertures judicieusement placées.
Ces prototypes ont attiré l'attention de la Nasa.
Dès 1985, l'architecte et les responsables du programme lunaire de l'administration spatiale américaine se sont rencontrés, avec dans l'idée la construction des premières bases sur le satellite de la Terre. "Avouez que ma technique est l'idéal", affirme M. Khalili. Acheminer des matériaux de constructions lourds sur la lune étant impensable, la poussière lunaire ou martienne suffira.
Les autorités locales en Californie, l'un des territoires les plus touchés par les séismes, ont récemment donné leur feu vert à la construction de maisons individuelles sur les plans de M. Khalili.
Mais la technique intéresse aussi les Nations unies. Le Haut Comité pour les réfugiés (HCR) et le Programme au développement (PNUD) sont venus étudier de près les prototypes d'Hesperia au début des années 2000.
Des mini-dômes ont été construits sur les sites des tremblements de terre en Iran en 2002 et au Pakistan en 2005."Imaginez un monde où tous les réfugiés ont un abri", lance Nader Khalili. "En plus, cela ne coûte rien", conclut-il en insistant sur la transmission de sa technique par les jeunes étudiants qu'il reçoit toute l'année.
Superadobe : Des maisons en terre bon marché
Système développée et répandu dès les civilisations méditerranéennes par tout le monde avec un clima compatible, la construction en adobe c’est une technique ré-considérée depuis longtemps dans l’architecture écologique bio- sustentable. Voici un exemple de ce qui peut donner dans l’expérience d’un architecte :
Des maisons écologiques qui résistent aux incendies, aux tremblements de terre et ne coûtent presque rien: sorties du désert en Californie (ouest), les habitations universelles de l'architecte Nader Khalili pourraient même un jour pousser sur la Lune.
Installé à Hesperia, ville aux portes du désert au nord-est de Los Angeles, le village expérimental de M. Khalili a au premier abord des allures de champignonnière. Mais en s'approchant, on distingue portes et fenêtres dans ces petits bâtiments ronds, hauts de moins de trois mètres.
Ces édifices se confondent avec le paysage du désert grâce à leur couleur sable. Et pour cause: les matériaux qui ont servi à les élaborer sont sortis du sol à quelques mètres de là.
"Le retour à la terre m'a semblé évident.
Je n'ai rien inventé, toutes les civilisations méditerranéennes ont utilisé la terre sur laquelle elles vivaient pour bâtir", dit cet architecte d'origine iranienne, installé aux Etats-Unis depuis 1971. Ancien architecte de gratte-ciel, il a fait aboutir son concept dans le "CalEarth Institute" (Institut pour l'architecture et l'art de la terre de Californie) qu'il anime à Hesperia...
"On creuse le sol. La terre est rassemblée dans des sacs, fermés. Empilés, on les fixe avec des fils barbelés", détaille ce petit homme à la barbe poivre et sel et aux yeux malicieux. "Tout est dans la forme arrondie, pour les petits dômes comme pour la grande maison: tout repose sur l'arc.
La forme traditionnelle d'une maison carrée avec des murs verticaux, c'est l'idéal pour qu'elle s'écroule un jour. Avec l'arc, rien ne peut tomber", affirme-t-il. Une fois montée, la maison est brûlée de l'intérieur et une coquille de terre cuite vient ainsi sceller l'édifice.
Au total, une grande maison ne coûte que 90.000 dollars et la sueur de trois personnes pendant une semaine.
Baptisée "superadobe", allusion aux premières maisons en terre construites par les colons espagnols de Californie, elle est en outre alimentée en énergie propre et bénéficie d'une climatisation naturelle, grâce à des ouvertures judicieusement placées.
Ces prototypes ont attiré l'attention de la Nasa.
Dès 1985, l'architecte et les responsables du programme lunaire de l'administration spatiale américaine se sont rencontrés, avec dans l'idée la construction des premières bases sur le satellite de la Terre. "Avouez que ma technique est l'idéal", affirme M. Khalili. Acheminer des matériaux de constructions lourds sur la lune étant impensable, la poussière lunaire ou martienne suffira.
Les autorités locales en Californie, l'un des territoires les plus touchés par les séismes, ont récemment donné leur feu vert à la construction de maisons individuelles sur les plans de M. Khalili.
Mais la technique intéresse aussi les Nations unies. Le Haut Comité pour les réfugiés (HCR) et le Programme au développement (PNUD) sont venus étudier de près les prototypes d'Hesperia au début des années 2000.
Des mini-dômes ont été construits sur les sites des tremblements de terre en Iran en 2002 et au Pakistan en 2005."Imaginez un monde où tous les réfugiés ont un abri", lance Nader Khalili. "En plus, cela ne coûte rien", conclut-il en insistant sur la transmission de sa technique par les jeunes étudiants qu'il reçoit toute l'année.
domingo, 17 de enero de 2010
El terremoto de Haití es el peor desastre al que se ha enfrentado la ONU
Ayer, 19.11 Por Hui Min Neo
El seísmo en Haití, que causó decenas de miles de muertos, es, según la ONU, el peor desastre al que la organización se haya enfrentado en toda su historia, peor incluso que el tsunami de 2004, pues decapitó las estructuras locales de apoyo a la ayuda internacional.
Movilización mundial de ayuda tras el sismo en Haití
Bomberos portugueses dirigiéndose a un avión para viajar a Haití. Ampliar fotografía
Noticias relacionadas
Hambrientos haitianos esperan ayuda que llega con cuentagotas debido al caos
En Leogane, epicentro del seísmo, la ayuda llega a cuentagotas
El seísmo dejó entre 40.000 y 50.000 muertos, según la OMS
Desesperación y rabia en Haití por la ayuda que no llega y caos en el aeropuerto
Más noticias sobre ONU
Foro: ONU
"Es un desastre histórico", explicó a AFP la portavoz de OCHA (Oficina de Coordinación de Asuntos Humanitarios) en Ginebra, Elisabeth Byrs.
"Nunca estuvimos enfrentados a un desastre de esta magnitud en los anales de la ONU. No se parece a ninguno otro, pues el país fue decapitado", agregó.
La funcionaria recordó que la capital, Puerto Príncipe (cerca de 3 millones de habitantes), está a 17 kilómetros del epicentro del terremoto.
Contrariamente a la situación después del tsunami que mató a más de 220.000 personas en Asia, sólo quedan pocas estructuras locales en Haití para servir de apoyo a la ayuda extranjera, subrayó.
"Incluso en Banda Aceh (la provincia indonesia más afectada por el tsunami provocado por el seísmo de magnitud 9,3), había bases locales para coordinar la ayuda", agregó Byrs.
En Puerto Príncipe agua, electricidad y teléfono fueron totalmente cortados mientras que las carreteras, el puerto y muchos edificios oficiales resultaron gravemente dañados.
El Gobierno, cuyo majestuoso palacio se derrumbó en parte, está muy debilitado. Su sede fue trasladada a un comisaría cercano del aeropuerto.
La capital no es una excepción. En Leogane, al oeste, "no hay ninguna infraestructura local", añadió Byrs. Los edificios de esta ciudad de 134.000 habitantes resultaron dañados en un 90%, según los equipos de salvamento de la ONU que pudieron llegar al lugar. La policía local considera que hay entre 5.000 y 10.000 muertos.
Un poco más cerca de Puerto Príncipe, la ciudad de Gressier (25.000 habitantes) fue destruida entre un 40 y 50% así como algunos barrios del gigantesco barrio de Carrefour (334.000 habitantes).
En total, la ONU se encuentra sola al mando de una ayuda internacional masiva, confrontándose a "desafíos logísticos mayores". Lo que explica la lentitud en la aplicación de la asistencia a miles de damnificados y heridos, traumatizados y hambrientos, que están entre la furia y la desesperanza.
"La distribución mejora, pero sigue siendo muy complicada y muy lenta", reconoció Byrs.
Cerca de cuatro días después del terremoto de magnitud 7, que causó según los responsables haitianos por lo menos 50.000 muertos, 250.000 heridos y 1,5 millones de damnificados, las agencias de la ONU esperan ahora poder ayudar a 60.000 personas por día.
Pero, para la ONU, la prioridad sigue siendo la búsqueda de supervivientes.
"El clima favorable y la manera como los edificios se hundieron, abriendo espacios de supervivencia, aumentaron las posibilidades" de que haya supervivientes, explicó Byrs.
"Por eso las operaciones de búsqueda y salvamento siguen siendo la prioridad. La fase de salvamento seguirá todavía", insistió la portavoz.
Los 27 equipos de búsqueda de la ONU en el lugar incluyen 1.500 personas y 115 perros que trabajan sin descanso.
"El problema es cuánto tiempo los supervivientes podrán aguantar sin agua", reconoció Byrs. En algunos casos los socorristas pudieron hacerles llegar agua a las víctimas atrapadas entre los escombros.
El viernes lograron extraer a 34 personas llevando la cifra total de salvados por los equipos de la ONU a 58, una gota de agua en medio del océano.
Ayer, 19.11 Por Hui Min Neo
El seísmo en Haití, que causó decenas de miles de muertos, es, según la ONU, el peor desastre al que la organización se haya enfrentado en toda su historia, peor incluso que el tsunami de 2004, pues decapitó las estructuras locales de apoyo a la ayuda internacional.
Movilización mundial de ayuda tras el sismo en Haití
Bomberos portugueses dirigiéndose a un avión para viajar a Haití. Ampliar fotografía
Noticias relacionadas
Hambrientos haitianos esperan ayuda que llega con cuentagotas debido al caos
En Leogane, epicentro del seísmo, la ayuda llega a cuentagotas
El seísmo dejó entre 40.000 y 50.000 muertos, según la OMS
Desesperación y rabia en Haití por la ayuda que no llega y caos en el aeropuerto
Más noticias sobre ONU
Foro: ONU
"Es un desastre histórico", explicó a AFP la portavoz de OCHA (Oficina de Coordinación de Asuntos Humanitarios) en Ginebra, Elisabeth Byrs.
"Nunca estuvimos enfrentados a un desastre de esta magnitud en los anales de la ONU. No se parece a ninguno otro, pues el país fue decapitado", agregó.
La funcionaria recordó que la capital, Puerto Príncipe (cerca de 3 millones de habitantes), está a 17 kilómetros del epicentro del terremoto.
Contrariamente a la situación después del tsunami que mató a más de 220.000 personas en Asia, sólo quedan pocas estructuras locales en Haití para servir de apoyo a la ayuda extranjera, subrayó.
"Incluso en Banda Aceh (la provincia indonesia más afectada por el tsunami provocado por el seísmo de magnitud 9,3), había bases locales para coordinar la ayuda", agregó Byrs.
En Puerto Príncipe agua, electricidad y teléfono fueron totalmente cortados mientras que las carreteras, el puerto y muchos edificios oficiales resultaron gravemente dañados.
El Gobierno, cuyo majestuoso palacio se derrumbó en parte, está muy debilitado. Su sede fue trasladada a un comisaría cercano del aeropuerto.
La capital no es una excepción. En Leogane, al oeste, "no hay ninguna infraestructura local", añadió Byrs. Los edificios de esta ciudad de 134.000 habitantes resultaron dañados en un 90%, según los equipos de salvamento de la ONU que pudieron llegar al lugar. La policía local considera que hay entre 5.000 y 10.000 muertos.
Un poco más cerca de Puerto Príncipe, la ciudad de Gressier (25.000 habitantes) fue destruida entre un 40 y 50% así como algunos barrios del gigantesco barrio de Carrefour (334.000 habitantes).
En total, la ONU se encuentra sola al mando de una ayuda internacional masiva, confrontándose a "desafíos logísticos mayores". Lo que explica la lentitud en la aplicación de la asistencia a miles de damnificados y heridos, traumatizados y hambrientos, que están entre la furia y la desesperanza.
"La distribución mejora, pero sigue siendo muy complicada y muy lenta", reconoció Byrs.
Cerca de cuatro días después del terremoto de magnitud 7, que causó según los responsables haitianos por lo menos 50.000 muertos, 250.000 heridos y 1,5 millones de damnificados, las agencias de la ONU esperan ahora poder ayudar a 60.000 personas por día.
Pero, para la ONU, la prioridad sigue siendo la búsqueda de supervivientes.
"El clima favorable y la manera como los edificios se hundieron, abriendo espacios de supervivencia, aumentaron las posibilidades" de que haya supervivientes, explicó Byrs.
"Por eso las operaciones de búsqueda y salvamento siguen siendo la prioridad. La fase de salvamento seguirá todavía", insistió la portavoz.
Los 27 equipos de búsqueda de la ONU en el lugar incluyen 1.500 personas y 115 perros que trabajan sin descanso.
"El problema es cuánto tiempo los supervivientes podrán aguantar sin agua", reconoció Byrs. En algunos casos los socorristas pudieron hacerles llegar agua a las víctimas atrapadas entre los escombros.
El viernes lograron extraer a 34 personas llevando la cifra total de salvados por los equipos de la ONU a 58, una gota de agua en medio del océano.
Suscribirse a:
Entradas (Atom)